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Henri Mash [MS009]

by Sooolem

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1.
1 UNE VISION DE VAISSEAUX DANS LA VILLE (Le prélude à la folie sociale) J’ai comme des visions où je vois plein de vaisseaux dans la ville. Des demandes d’admission pour des concours streamés de virées dans le vide, armé d’un Plasma-colt qui scintille. J’ai des visions qui s’animent, se mélangent puis s’alignent lorsque qu’aucune étoile n’est visible même du plus haut des buildings ! J’ai des représentations d’une sorte d’avenir, telles des prédictions ou précognitions où je vais devoir pénétrer le vil de l’autre, le fil de l’incessant retour de l’aube depuis que l’homme a perdu sa flore et sa faune pour mieux vomir sa bile. Suis-je si vite devenu fou depuis que je n’arrive même plus à distinguer le vrai du flou ?!! Aurai-je pénétré l’intemporel univers de K-Dick ? Suis-je Synthétique ? Quand dans un train express de retour de l’espace, je me vis androïde me jetant dans les bras d’une jeune femme dès l’ouverture du sas de décompression… Toutes ces visions me portent à croire qu’elles sont bien loin d’être de la fiction ! L’opération croûton de pain ! La bataille des pas nets ! Lili, Bill, Jonki, Sticken, Rosa sont des noms qui me reviennent tout le temps. Vêtue d’un vêtement antimatière pour atteindre un astronef sous une pluie de lasers; une fille perdue dans un jeu vidéo vortex; un nouveau monde, une nouvelle vie. Il y a du monde de partout et des machines dans les avenues illuminées par les écrans publicitaires se déplaçant dans les airs. Des courses-poursuites dans des mondes numérisés !! De la buée sur la vitre d’un vaisseau ; l'Empryon, en train de se poser. J’ai vraiment du mal à croire que ces visions ne soient pas entièrement réelles !
2.
Sayon Ara 03:49
2 Sayon Ara (Le prélude à la folie sociale) Depuis mon lit-licenciement, j'ai mon esprit qui se sépare, qui tout seul sort et se déplace dans le noir. Pas une seule nuit sans y penser, ni un seul jour dans le calme. Je ne sais même plus où se trouve ma place. Ce que je croque, ce que je broie, ce que je vis et vois donc crois. Tu peux partir, tu es viré.Va donc porter ta croix ! Tu n'es plus rien, juste Licencié. La direction : le pôle Emploi. Tu ne fais pas le poids Henri. Retourne donc chez toi. Installe-toi dans ton canap’, mate l'écran et vide des teilles. Prends ton Xanax pour que ça se passe en attendant le sommeil. 35 ans pour le même Hôtel; 53 ans et à la poubelle. Telle est ma vie actuelle. Je me sens faible. Que je m'envole sans réfléchir, que je m'envole, que je m'étiole, vu que je n'appartiens plus à la norme Que je m'envole sans réfléchir, que je m'envole, que je m'étiole, vu que je n'appartiens plus à la norme Que je m'envole sans réfléchir, que je m'envole, que je m'étiole, vu que je n'appartiens plus à la norme Que je m'envole sans réfléchir, que je m'envole, que je m'étiole, vu que je.. Je vis tout seul, je n'ai plus de taf. C'était ma vie, mon espace. Je me sens seul, je n'ai pas de femme ni de famille qui m'enlace, me réconforte me porte entre leurs bras dans leur corps, me réconforte me porte pour que je m'en sorte. Je me torture, mon moi sature, il me soudure, mon moi suture. Ce chat fantôme, cet entité qui en mon être s'est invité. Il me transporte et je décolle sans y penser ni sans me mordre, sans me forcer me mettre la corde. Ne plus penser que je n'ai plus de taf, aucune attache Phantomacat, tel est son nom, le nom du cat qui vit en moi, à l'intérieur. Serait-ce l'inverse à l'extérieur ? Je ne sais pas moi ! Je m'isole et je picole. Pas l'habitude que je sois là, mon voisinage m'espionne au travers du Judas et pour l'heure, j'en rigole. J'ai l'attitude à lever les bras même si je suis seul. Même sans ce taf et ma foi, l'heure n'est pas au linceul. Je veux revivre, en toute logique je me dois de survivre à tout ça. Perte d'emploi et âge précaire. A porter, c'est un poids. Un poids lourd sur un ring où je ne me vois pas combattre. Dans la vie, déjà j'esquive tous le temps la moindre attaque. Bosser pour la société. Oui ! 35 ans de métier. Viré après tant d'année. Oui. Mais est-ce comptabilisé ? Dans les rapports sur le chômage qui ne réconfortent que le ministère. Sur la saveur de ne pas prendre en otage les pauvres gens qui vivent l'enfer. Ce pays fut un jour beau mais ce n'est plus le cas. Je m'appelle Henri Mash, 53 ans et un doigt. Que je m'envole sans réfléchir, que je m'envole, que je m'étiole, vu que je n'appartiens plus à la norme Que je m'envole sans réfléchir, que je m'envole, que je m'étiole, vu que je n'appartiens plus à la norme Que je m'envole sans réfléchir, que je m'envole, que je m'étiole, vu que je n'appartiens plus à la norme Que je m'envole sans réfléchir, que je m'envole, que je m'étiole, vu que je n'appartiens plus à la norme.
3.
Délirium 02:34
3 Delirium (Le chômage) Mesdames, messieurs, bonsoir. Seul dans son appartement, Henri picole tout en consultant son réseau social préféré. Au travers de cette boîte à ragot, il s'imagine être un autre et dans ses délires il se nomme : Phantomacat. Phantomacat du monde se détache quand dans le vide Henri se lâche. Son écran toujours en marche. Assis sur son sale canap’, les pieds sur la table basse sur laquelle est en train de rouler un ex verre à moutarde. Sur le sol de la bière que le carrelage essaye de consommer. La main droite de H occupée à scroll-scroller. Une roulée dans un cendar de paille s’est autoconsumée. Henri dans son fauteuil observe la seule source de lumière connectée. Avant c’était : allez, au boulot ! Maintenant c’est : allez, au goulot ! Il s’endormira l’écran allumé pour se lever avec un sacré mal de crâne. Henri supporte mal l’alcool mais Phantomacat en raffole. Henri lui ne veut que de la compagnie, alors Phantomacat la créer pour lui. PH du monde se détache quand dans le vide H se lâche. Delirium dans le petit appartement de Mash. Un monde naît devant ses yeux écarquillés ! Oui, Henri ce monde est le tien ! Car quand tu te lâches dans le vide Phantomacat du réel te détache. Car quand tu te lâches dans le vide Phantomacat du réel te détache. Delirium dans le petit appart de Mash. Delirium dans l’appartement 1324.
4.
Appt. 1324 02:09
4 APPARTEMENT 1324 ( Le chômage ) Henri grisé grignote. Henri brisé biseaute son mental qui clignote et clope sur clope happe son sort de chiotte. Henri entend par delà la porte que sa voisine cloporte colporte à son encontre toutes sortes de méchancetés en cohorte. L'on dirait qu'elle complote un petit plat pour un petit chat. Je me demande ce qu'elle me mijote!!? Un verre de lait, un bout d'anchois. Moi, je ronronne dans mon paddock quand Serge galope dans mes neurones. Je gratte le sol et planque mon stock de pensées folles sur cette personne. D'après elle, je serais donc une sorte de défaut de fabrique. Elle raconte aux autres, les résidents, qu'elle voudrait bien savoir ce que je trafique. Elle brise le tabou de la délation en me choisissant comme sa victime. Moi, je m'étire sans même sortir mes griffes mais elle s'en fout, elle est à fond, c'est pas pratique ! Elle raconte à tout-va que je serais porteur d'ondes maléfiques. Elle cligne de l'œil ,elle a un tic, qui s'active quand elle décharge ses propos cyniques. Alors je miaule à l'arrêt de cet acharnement pathétique. Mon pire étant de mâchonner très souvent, la couverture d'un livre de Philip K.Dick ! Ma voisine m'aime d'un amour vache que je n'explique ?!! Dans l'absolu, je n'ai pas souhaité mon chômage technique ni la situation que le prétexte invite. Du fait, je crains au dehors tous ces lancés de regard atypique. Alors je squatte l'un des rebords de mon canapé acrylique. Mes jumelles atoniques pénétrant l'appareil cathodique. Le petit cat s'en va faire un p'tit somme. Quand le chat dort.. l'homme ronronne ! Henri se voit muni d'une petite gomme alors Phantomacat perd le contrôle. PH rêve, ses petites pattes contre sa moustache, HM lui au travers de l'écran s'amourache ! Mash un peu courbaturé plonge splash dans les bras de son amour digital. Crash !
5.
5 AMOUR DIGITAL (Le chômage) Dans la tourmente, Henri à l’âme errante aime une femme virtuelle. La tête tombante, comme dans une sorte d’absence où il s’anime de désirs sextuples qui l’émerveille. Ce qu’il voit dans l’écran, il le vit et ses yeux ébahis ont beau porter des lunettes de soleil, son corps s’embrase et crépite ! Avachi dans son canapé qui phlébite. Il est amoureux de l’impossible. En son for intérieur ça s’agite trop, il cogite fort ! Il a le cœur lourd et blessé, il sait devoir laisser son Meetic cérébral s’en aller. Son éphémère saphir, sa femme digitale. Lui, l’humano-maximal, l’animal reclus laisse une ultime fois son regard l’image dessiné. Il est exclu qu’au réveil, elle ne soit pas entièrement dissipée mais il y croit peu car lui la galaxie spirale barrée pense toujours qu’à part d’elle.. rien à carrer. Je sais bien que je tripe devant ce foutu ordi allumé constamment depuis et la présence de plus en plus forte de cette entité en moi qui grandit «Phantomacat !» ce chat fantôme au regard béat pas loin du bêta. Hors de question de s’expédier direct vers l’oméga. Vous constatez déjà bien l’état ! Plaît-il ! Petit chat ! Moi, Henri amoureux d’une femme digitale, il ne manquait plus que ça ! Cette disparition de l’autour, de cette réalité dégât. Sur le sol des bouts de fêta, en fond du fêla et ce cat fêlé qui me crie fait-le, rentre dans l’ordi et aime la. Fais l’amour à ton écran, tu verras, ce sera top, mon petit gars ! Adieu ma flamme dans mon parloir et ce silence qui me rend sourd. Adieu reflet dans le miroir, Adieu ma femme, radieuse amour (x4) Lui, qui ne pensait vivre que de taf et télé, d’un peu d’eau et de manger, dans un souvenir éventail, amoureux d’une vie sans scandale, supposait ne rien ressentir mais le fait de ne penser qu’à elle lui prouvait bien le contraire. Henri un peu barge, barré, la regarde une dernière fois se coucher et lui glisse une dernière pensée : Mademoiselle étoile, soyons sincère. Nous devons stopper nos larmes de déstructuration massive puis, je dois être honnête avec moi ! La perte de mon boulot, c'est déjà trop, ça va !
6.
6 ET TU COMPTES LES JOURS (Le chômage) Henri réfléchit à la façon de s’en sortir, il sait que la solution n’est ni dans l’alcool, ni la télé, il mûrit et commence à se relever se disant que tout va bien dans le meilleur des mondes. Le meilleur ne peut que naître ce jour-ci. Aujourd’hui, j’ai décidé je jouis, éclaboussant de mon fluide toutes ces avaries. Je n’en veux pas plus de cette asphyxie et catalepsies chroniques une météorite, je suis, traversant l'espace d'un simple regard pour transvaser du sable dans un petit étui et le montrer aux enfants. Je tiens à ce qu'ils sachent que rien n’appartient à personne à part ce que l’on fait de sa vie. Je me dis ne plus vouloir me laisser aller à l’envie d’être mort et en vie, ni se prendre à croire que tout est fini. Autant d' années dans l'univers du travail, autant donner sans plainte malgré le manque de maille. Marre de compter les jours sans trouver le moindre taf, marre des aller-retour entre pôle-emploi et la C.A.F, marre de passer devant mon ex travail et de constater que personne ne me remplace. Où se trouve la faille ? Je ne veux plus me torturer l'esprit et contempler ces vagues dépressives ni continuer de me taper la tête contre le plafond et fondre en larme chaque nuit. Je me dois de vivre à pleins bras cette vie et abattre ce cumulus au-dessus de ma tête qui se déplace exactement comme moi vu que le pire est derrière et que devant il y a tout à portée de bras. Je viens renaître de mes propres cendres pour décrier partout que l’on doit rester humble et droit. Alors je décide d'arrêter de compter les jours vu que le problème ne vient pas de moi. Certain que tout va aller mieux. Il faut que je sorte de chez moi avec toi en moi petit chat !
7.
Saphir 02:10
7 SAPHIR (L'internement) Déconnexion pour Mister Mash. Déconnexion et transe … Transmutation d’un esprit contorsionné. Fission. Quand un matin, l'on frappe à sa porte et qu’il décide de ne pas ouvrir. Il veut être seul, il essaye de se reconstruire ou se construire. De trouver la clé qui lui permettra d’ouvrir cette porte de chêne massif. Est-ce que ça regarde quelqu’un comment il s’y prend ?!! Ça le regarde lui. Il est seul, pas d’enfant, pas de proche, aucune envie suicidaire. Non, c’est pas son genre ! Henri se retrouve interné : délation. Comment a-t-on pu décider de son internement ? Antidépress’ express...Envolée pour.. Sans aucun désolé pour. Questionnement donc mystère, pensées noyées dans un réceptacle contenant de l’éther. Une saison glaciale s’annonce pour lui. De la toux et des glaires. Sur un lit ligoté, un œil de verre le fixe tandis qu’une sorcière le pique. Envolée pas décidé donc amère. Dure et aberrante. Excusez s’il est victime d’absence. Entre boire des coups chez lui et être drogué dans cet HP. La marge en devient large. C’est un putain de virage. Dans son esprit un carnage. Imaginez une nuit d’orage. Pourfendu par un éclair. Une ampoule sur patte déambulant les cheveux en l’air dans un univers abstrait et couvert. Interné, séquestré, mis aux fers. Il ne connaît aucun de tous ces visages, penchés sur lui, parlant de lui, et ça, ça lui fait peur. Dites lui au moins de qui est-il l’otage, quel est donc cet enfer sous camisole, quel en est le mobile, quelle en est la raison ? Mais pourquoi suis-je là se demande t-il avant de sombrer … Mais pourquoi ? Mais pourquoi ? Pourquoi m'emmènent t-ils de force ? Cette voisine avait donc bien le regard féroce. C'est elle, c'est elle et je lui en veux pas. Je ne lui ferais pas la guerre Non, moi, je ne suis pas comme ça ! Je me demande juste mais pourquoi ?
8.
8 Amour désarticulé (L'internement) Heureusement que je peux mater cette foutue télé dans cet Hôpital P Reportages, journal télévisé, gens racontant leur vie brisée. Puis quand les médocs font effet, je repense à certaines trames de mon passé, du temps où j'exerçais encore mon métier de portier. Du temps où je n’étais pas esseulé, isolé et affolé. Je revois leur visage. Deux amoureux au cœur enflammé. Passion attachement, tendresse et affection entremêlées mêlées. Ils ne redoutaient qu’une seule chose être séparé. Hantise de mes parents : que l’un parte avant l’autre ! Ils désiraient refermer en même temps leur paupières et s’endormir profondément avec en tête l’image d’un cerisier en fleur sur le mont du cœur où les enfants du village de la brume s’amusent et les adultes s’aiment vraiment énormément. Là où les enfants s’épanouissent quand les adultes recherchent à se comprendre vraiment Mes parents s' étaient rencontrés, ils étaient tous deux accoudés, fatigués de leur journée d'immigré salarié. Installés côte à côte. Ils avaient commandé le même verre, ce qui les fit sourire et commencé à discuter. Ils avaient changé de place afin d'être plus tranquille, plus isolés. Assis ainsi pendant plusieurs semaines, ils se retrouvaient au même endroit et commençaient vraiment à s'apprécier. Un beau soir, Miya retrouva Honoré dans sa Buick gris métallisé et par la vitre ouverte lui décrocha le premier baiser. Quelques mois plus tard, je suis né. Henri. Petit gamin introverti. J'ai grandi avec leur amour qui n'a jamais failli. Ils s' étaient découverts tellement de passions communes que tout du long de leur vie, ils m'ont décroché la lune. Le seul reproche que j'aurais pu leur faire s'ils étaient toujours là C'est d'avoir été trop cocooné et ainsi loin de la réalité d'ici-bas. Le monde du boulot à mes 18 fut assez rude J'avais la fâcheuse habitude de me croire bien mieux avec ma solitude. A mes 23 j'ai rencontré un ange de béatitude qui est parti au bout d'un an. J'étais trop prude. A mes 27 ans, dans un terrible accident, j'ai perdu tout repère. J'ai perdu maman et père. Ils sont partis tel les amants. J'avais voulu oublier leurs corps assemblés comme siamoisé. 2 amoureux désarticulés, main dans la main coincés dans cet amas de plastique et ferrailles entremêlées. Visage contre l’autre serré. Sirènes chantant l’arrivée du SAMU et des pompiers. Deux étoiles dans un ciel imparfait. c'est ce que je me dis dans cet HP quand je viens à repenser à cette trame de mon passé et dire que tout m'est revenu à partir d' une image, d'une image accompagnée d'un mot dans cet écran qui m' a fait repenser à eux. Miya et Honoré. Les doux prénoms de mes parents adorés. J'ai un peu honte de vous dire qu'heureusement que la télévision ici aussi est tout le temps allumée et que même ce faux journal télévisé me permet de me sentir renseigné, enfin plutôt imprégné voir ancré dans la réalité. Avec le monde extérieur. C'est important.
9.
C'est HS 03:13
3 C'est HS (L'internement) Depuis que je suis enfer.... mais à tord l'envers du décor m'écrase le crâne et en mon être me fait mal. Depuis que je suis inter... né, je meurs car le dehors je ne le vis qu'au travers d'une télé et de ses programmes. Depuis que les médocs m'imposent une lutte interne que les piques de l'infirmière transpercent mon épiderme que ces gros nuages me suivent tels des détracteurs dans ce miroir aux alouettes où je serais malgré moi l'acteur. Depuis que je suis licencié, je flegme. Mon travail, c'était ce qui me reliait à la chaîne. Depuis que je ne suis plus portier, je rêve. Est-ce l'unique raison pour être kidnappé par le système. Hors de question que je reste. J'ai comme mon corps qui m'agresse Je me sens bien prêt à disparaître Pour moi, c’est HS Tous ces médicaments me tuent à petit feu autant que mes synapses qui pètent dans tous les sens, ça me rend bad et angoissé Qui vient m'aider ? Mon cœur qui craque qui se détache mon corps qui vole au dessus de moi et sans attache la forme d'un chat qui se prélasse au bord d'un toit.

about

Synopsis : Licencié comme un malpropre, Henri se découvre quinquagénaire désœuvré, et c’est entre rêve et réalité qu’il tente de s’en sortir.

credits

released November 26, 2022

Scénario et interprétation par Sooolem alias S3O
Puzzle Musical, mix, mastering, cover par Mitron Skovronski
Avec l’aimable autorisation de Thomas Chenni pour la permission de le sampler
pour les morceaux 2, 4, 6 et 7

Un immense plaisir de pouvoir enfin partager, d’une autre façon, se projet qui fût avant tout une histoire scénique. Alors, un grand merci à mes anciens compagnons de route que sont Thomas Chenni, François Cipolla, Yula Slipovitch, Tatiana Paris, Fabien Aléa ainsi qu’ à toutes ces nombreuses personnes qui nous ont accompagné.

Gros plaisir de sortir tout ce bordel organisé chez Mauvais Sang

Histoire à suivre… Henri Mash... les chroniques

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